David Deneyer

Luminescences

David Deneyer est ostéopathe DO, acupuncteur et praticien en médecine chinoise. Il est spécialisé en langage émotionnel du corps et symbolique des symptômes et maladies. Il est le concepteur de l’ostéopathie somato-émotionnelle-sensitive®.
Il est l’auteur du livre « De la lésion à l’émotion » (Ed. Amyris).
Il organise des formations, des consultations en ligne.

Le cheminement de la technique

Voilà 20 ans je découvrais l’ostéopathie au travers de rencontres aussi inattendues qu’extraordinaires. Sur ce parcours initiatique bien d’autres techniques et philosophies viendront se greffer et pour moi, la plus passionnante de toutes étant la symbolique du corps et de ses fonctionnements de survie que l’on nomme en général d’une manière assez péjorative, la maladie. Celle-ci étant une adaptation temporaire ou définitive à une situation, que notre cerveau a analysé comme périlleuse pour la pérennité de notre vie ou celle de notre clan.

Ensuite viendra la rencontre avec la discipline de mon épouse Bérénice qui grâce à la naturopathie me permettra de comprendre toute l’importance de l’entretien de notre terrain de base par l’alimentation vivante. Comme nous le verrons plus loin, la perspective d’un terrain physiologique sain permet d’impacter plus facilement les stress importants de la vie d’être humain.

Le tissu organique, tiroir fourre-tout de notre cerveau

Ma carrière d’ostéopathe m’a fait rencontrer des milliers de patients différents et j’ai ainsi pu vérifier à chaque fois le lien entre les pathologies physiques, relationnelles ou organiques et les évènements que le patient avait vécus que ce soit dans sa vie personnelle parfois même bien des années auparavant, soit en lien avec un stress transgénérationnel de son clan familial. C’est ainsi qu’un blocage de mobilité ostéopathique d’un poumon se manifestant par des douleurs cervicales basses ou dorsales hautes associées résultera d’un stress lié à la mort (un deuil non fait, une séparation amoureuse ou familiale définitive , la peur de mourir pour soi ou un proche), alors qu’une entorse de cheville révèlera une situation où la personne s’est retrouvée en tort (en-tort-se) par rapport à un choix qu’elle a posé ou que l’on lui a imposé et encore une névralgie d’Arnold sera à mettre en lien avec une difficulté liée à l’autorité à subir ou à donner.

Les surstress sont dangereux pour notre survie car notre conscience en est obnubilée au risque de ne pas pouvoir anticiper des dangers plus simples de la vie de tous les jours (si en voiture je rumine le stress que j’ai avec mon directeur, je suis moins attentif aux dangers de la circulation routière et potentiellement ma vie est à risque). Notre cerveau automatique à été programmé il y a quelques centaines de milliers d’années dans un environnement naturel hostile où toute perturbation de l’attention était rapidement fatale à son auteur. Notre centrale de commande cérébrale réagit toujours aujourd’hui selon les critères de cette ère primitive et dangereuse. Le cerveau automatique va alors décharger notre conscience de ce surstress pour la mettre dans un « tiroir fourre-tout » du corps qui sera un organe, un os ou un tissu en lien symbolique avec la problématique conflictuelle de base (un stress de manque fera réagir le foie, une colère rentrée activera la vésicule biliaire, un état de soumission impactera le genou par exemple). Ça permet de libérer la conscience qui récupèrera alors toute sa vigilance face aux dangers basiques du quotidien.

Notre corps, outil de survie par excellence

Comme nous venons de le voir, le corps est un outil de survie formidable régulé par notre cerveau automatique. Au gré des situations de vie agréables ou stressantes, notre cerveau inconscient va adapter le fonctionnement physiologique, mécanique, sensoriel, émotionnel et relationnel de notre organisme avec un seul but ultime : celui de pérenniser notre existence et celle de notre clan. Les modifications nécessaires à la survie de notre clan seront même transmises par notre ADN à nos descendants. En fonction de l’intensité et des circonstances de l’émotion négative vécue, le cerveau automatique déclenchera une régulation sous forme d’une maladie ou d’un symptôme pour que notre corps s’adapte.

L’action thérapeutique

L’acte thérapeutique est de permettre au patient de faire le lien entre sa pathologie et ce qui l’a créée. Ceci permet d’atteindre un état de guérison très rapide et permet surtout aussi d’éviter la récidive ou la chronicité qui surgira rapidement si le cerveau automatique ne débranche pas complètement le programme de survie qu’il a mis en place. Notre cerveau ordinateur fonctionnant sur le mode réel, imaginaire ou symbolique, la conscientisation et un acte symbolique permettront de libérer l’émotion du tissu en souffrance car pour notre centrale de commande la solution est trouvée. La compensation sous forme de maladie n’ayant alors plus lieu d’être, le tissu en question retrouvera son fonctionnement physiologique normal dans un laps de temps compris entre 48 heures et 6 semaines en fonction de l’intensité de la lésion.

Le terrain de base de l’organisme : élément primordial

Par les rencontres avec des consultants communs, mon épouse et moi, nous sommes rendus compte de l’interaction entre le terrain de base du patient et sa réactivité à un stress émotionnel.

La problématique variera en fonction de 2 choses principales : l’intensité de l’émotion vécue et le terrain de l’organisme. Si la personne a une bonne hygiène de vie et donc un terrain de base correct, elle pourra impacter des chocs ou émotions plus intenses sans pour autant déclencher des maladies trop graves. Par contre, sur un terrain délabré, un stress moins intense aura un impact plus fort que la normale.

L’ostéopathie préventive avant tout

Avec le ressenti ostéopathique, nous pouvons détecter les régions du corps en contrainte bien avant tout éventuel symptôme et ainsi traduire l’émotion impactée dans le tissu et l’en libérer tout en faisant prendre conscience au patient du conflit émotionnel qui l’a touché. Ce qui fait de cette technique un atout indéniable de prévention des maladies. Les patients ainsi traités ont une santé bien plus florissante et linéaire qu’avant. La main de l’ostéopathe est un outil formidable qui à force de toucher des tissus humains devient un laser de détection à haut potentiel. Ensuite, il faut connaître la symbolique du corps, de ses organes, du comportement humain primal pour pouvoir l’associer verbalement à la libération du tissus viscéral ou pariétal en lésion.

La consultation

Une partie des consultants vont se présenter en consultation préventive sans symptômes majeurs proprement dit et le travail de maintient de la santé consistera donc à aller chercher dans le tissu qu’il soit musculaire, fascial, viscéral, crânien ou autre, les tensions imposées par le programme de survie mis en place par le cerveau automatique. Les identifier et en donner la symbolique au patient. Dès que le lien et la conscientisation avec le conflit programmant se fait, on peut sentir en « live » le tissu qui se libère de sa tension. Si une information non conforme est donnée le tissu ne lâchera rien ce qui me permet de savoir directement si l’information donnée au patient correspond bien à son évènement de vie personnelle ou ancestrale.

Une autre partie des patients viennent avec des pathologies définies et diagnostiquées, à ce moment nous travaillerons directement sur l’origine de la modification de fonctionnement de la fonction perturbée.

Le corps et l’esprit ne font qu’UN. L’un et l’autre travaillent à la continuation de la vie…L’hygiène alimentaire et émotionnelle sont indissociables et essentielles pour vivre en santé dans notre environnement.

Mon parcours professionnel et formatif

  • J’entreprends mes études d’ostéopathie en 2003 à la Belgian School of Ostéopathy (BELSO) d’où je sors diplômé avec grande distinction en juin 2008. 
  • De 2006 à 2010, je me forme à la radiesthésie et à la géobiologie grâce à feu Mr Alain Voet célèbre radiesthésiste belge. Cet enseignement va me permettre d’affiner mon ressenti et mon intuition.
  • Dès septembre 2009, j’intègre le corps professoral de la BELSO et enseigne l’ostéopathie jusqu’en 2012. Le contact avec les étudiants me permet de développer mon sens didactique.
  • J’entame en 2009 une formation d’étude d’éthologie humaine donnée par Josie Kromer. Ceci me permet de comprendre les différents comportements archaïques de l’être humain encore d’actualité dans notre société soi-disant évoluée.
  • En 2010, je suis diplômé en énergétique chinoise et en acupuncture de l’école de médecine orientale de Lille du Docteur Vanderasier.
  • En septembre 2012, j’entame une formation qui étudie l’effet des émotions vécues sur le corps humain que je valide en juin 2013. J’y apprends toute la lecture du corps et de ses pathologies. L’étude des origines émotionnelles des maladies m’y est également enseigné.
    Ce fût pour moi une vraie révélation de découvrir que le corps a son propre langage universel et l’exprime au quotidien par une multitude de signes et de symptômes parfois si abstraits et dénués de sens…à moins d’en connaître les codes et conventions…
  • En 2019,  je me forme à la radiesthésie chez Gérard Grenet à Paris.
  • En 2020, stage d alimentation vivante chez Irene Grosjean à Flayosc.
  • Juin 2020 Formation Biogest, Gerard Athias et Isabelle Boos, Décodage symbolique et energétique des vertèbres cervicales, dorsales et lombaires, des membres supérieurs et inférieurs et du crâne.
  • Juin 2020, formation en biologie gest, compréhension des symboles selon la kabbale, Gerard Athias
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